Romane Bohringer :"J'ai l'impression d'avoir remis de l'odre dans ma vie"

Double exclusivité sur le canapé de Mesdames ! Pour la première fois, Ariane Massenet prend place sur le canapé blanc de Mesdames. Et pour la première fois, Romane Bohringer se livre sur la partie la plus intime de son histoire : sa relation avec sa mère qui l'a confiée à son père quand elle avait 9 mois, avant de mourir quand Romane avait 14 ans. Pour nous tous, Romane est indissociable de son père Richard. Père et fille ont tout traversé ensemble, les peines, les joies et les succès. Enfin les peines, pas tant que ça... Romane explique qu'elle a toujours été une enfant joyeuse pour protéger son père. Mais le manque de sa mère est revenu comme un boomerang quand elle-même est devenue mère. Deuxième électrochoc : quand Romane veut adapter au cinéma le livre de Clémentine Autain "Dites-lui que je l'aime". Le parallèle entre les deux femmes est saisissant : même âge quand elles perdent leur mère, des mères qu'on pourrait qualifier de défaillantes. L'adaptation de ce livre en film se transforme alors en enquête de Romane sur sa propre mère. Comme Clémentine, elle découvre dans une lettre que sa mère l'aimait, à sa façon. Une histoire bouleversante racontée par une Romane authentique, sans filtre. Sans filtre aussi quand elle évoque la blessure ressentie au lendemain du festival de Cannes : la presse la traite de "mémère" et critique son physique. À 52 ans, elle n'était pas préparée à une telle méchanceté gratuite. Mais comme toujours dans sa vie, elle fait une pirouette et préfère en rire. Un témoignage rare qui mêle douleur, enquête intime, résilience et humour. Romane Bohringer comme vous ne l'avez jamais vue.

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